Photographie Noir & blanc : découvrez le travail photographique de François Dhoury.
Photographe thérapoète à Gujan-Mestras

« L’œuvre vit du regard qu’on lui porte. Elle ne se limite ni à ce qu’elle est, ni à celui qui l’a produite. Elle est faite aussi de celui qui la regarde. » Pierre Soulage.

François Dhoury, photographe, artiste thérapoétique

Depuis ma naissance, j’ai un rôle à jouer, une fonction à remplir.

Vis-à-vis de ma famille, l’institution, la société…

 

Tout au long de ma vie, mes pairs m’imposent de me conformer à leurs conventions.

 

Enfant, adolescent(e), étudiant(e), époux, épouse, salarié(e), entrepreneur(e)…

Je m’adapte aux codes du milieu dans lequel je vis.

Cela conditionne « mes choix » d’être et de paraître …

 

Mais à quel moment suis-je en connexion avec moi-même ?

Comment être connecté(e) à moi alors qu’il me faut être conforme aux autres … ?


Prendre conscience de ce questionnement m’invite à aller vers le lâcher-prise.

J’apprends à prendre de la distance face aux injonctions qui ne m’appartiennent pas, qui me pèsent.

 

Je me connecte peu à peu à mon essence, à mon essentiel et je me dépouille du superficiel.

J’ôte vêtements, uni-formes et accessoires statutaires.

Je me mets à nu… je me connecte à nouveau à mon identité.

Mon corps, mon être profond expriment ma liberté retrouvée.

Ma re-connexion.

Découvrez la galerie photos avec mes tirages en vente !

Série « calligraphie corporelle » : liberté retrouvée du corps

Série photo atypique, cette série de nus artistiques intitulée « Calligraphie corporelle » est une reconquête. A mille lieues des cadres institutionnels que nous impose la société, la liberté reprend ses droits. Lâcher prise. Joie d’exister. Expression naïve et spontanée du mouvement.

« Comment être en connexion avec soi-même alors que l’injonction pour faire société est d’être conforme aux autres ? Je me reconnecte peu à peu à mon essence, à mon essentiel, je me dépouille du superficiel. J’ôte costume, masque, uniforme, vêtements et accessoires statutaires, je me mets à nu. »

La lumière, subtilement distillée à la manière d’un calligraphe, révèle la grâce du corps et de l’être qui l’incarne. L’utilisation du noir et blanc et des contrastes accentués soulignent la poésie des mouvements. Des formes étranges surgissent de l’obscurité- Portraits d’humanité.

Cet univers, je le veux poétique et thérapeutique, il devient donc naturellement thérapoétique.

Intéressés par le travail de François Dhoury ?

Les photographies de François Dhoury font l’objet de tirages numérotés, disponibles à la vente. Une photographie vous intéresse en particulier ? Prenez contact avec l’artiste pour passer au studio ou recevoir vos tirages à votre domicile.